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Bodzin@Dirtydancing_03/02/07_byZygomatek

Mon premier est un Allemand, étoile montante de 2006 en tant que producteur sous le label Hertzblut Rec et Systematic Rec, un dj communicatif et survolté à souhait, qui deviendra j’en suis certaine un artiste orbital de la scène électro internationale en 2007.

Mon second est un public incomparable, éclectique, electro-addict donc extrêmement réceptif réuni pour acclamer mon premier.

Mon dernier est un son émouvant et éprouvant : Minimale mentale groovissante.
Quand la minimale rencontre des son célestes et colorés, indus parfois trance ou old school, cela devient presque inhumain de nous offrir un tel chef d’œuvre. On aura pu entendre notamment les dernières plaques de mon premier comme « Tron », « Pendulum », « Puck Hersblut03 », « Caligula », le terrible « Phobos » (Vs Ramboy), le remix de DM « everyting counts » par Oliver Huntemann en plein milieu de set repris par l’intégralité du public, et presque au final le monstrueux « 37 degrees » afin d’achever notre électrocution.
Que de frissons et de pur plaisir. Moment rare, presque nostalgique qui mérite de rester gravé dans nos esprits.

Mon tout est une soirée magique et inratable avec STEFAN BODZIN au cœur du Dirty Dancing

Tue Feb 06 2007

Bodzin@Dirtydancing_03/02/07_byZygomatek

Mon premier est un Allemand, étoile montante de 2006 en tant que producteur sous le label Hertzblut Rec et Systematic Rec, un dj communicatif et survolté à souhait, qui deviendra j’en suis certaine un artiste orbital de la scène électro internationale en 2007.

Mon second est un public incomparable, éclectique, electro-addict donc extrêmement réceptif réuni pour acclamer mon premier.

Mon dernier est un son émouvant et éprouvant : Minimale mentale groovissante.
Quand la minimale rencontre des son célestes et colorés, indus parfois trance ou old school, cela devient presque inhumain de nous offrir un tel chef d’œuvre. On aura pu entendre notamment les dernières plaques de mon premier comme « Tron », « Pendulum », « Puck Hersblut03 », « Caligula », le terrible « Phobos » (Vs Ramboy), le remix de DM « everyting counts » par Oliver Huntemann en plein milieu de set repris par l’intégralité du public, et presque au final le monstrueux « 37 degrees » afin d’achever notre électrocution.
Que de frissons et de pur plaisir. Moment rare, presque nostalgique qui mérite de rester gravé dans nos esprits.

Mon tout est une soirée magique et inratable avec STEFAN BODZIN au cœur du Dirty Dancing